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L'autre jour, je marchais à Knowlton et a été littéralement hypnotisé par la beauté d'un pommier en fleur. La lumière du soleil a été furtivement à travers les branches et la peau délicate de goassamer les pétales blancs brillaient dans un éclat magique. L'obscurité de l'arrière-plan fait un grand tableau, je pense.L'un des avantages de vivre dans la beauté naturelle de Knowlton est d'être capable de trouver un si grand nombre la beauté délicieusement naturel tout autour de nous!
Avec la chaleur de revenir nous commençons à planter nos jardins et de regarder comme la floraison des coquelicots et fondit en apparat coloré. L'air humide de Juin parfumée est un tonique pour l'âme magnifique et nous rend tous apprécier la vie dont nous jouissons ici niché dans un quartier calme peu de terre verte de Dieu.
Ces moments souvent ramener la mémoire de un beau morceau de poésie qui nous a touché et après avoir vu la fleur de pomme glorieuse je me suis rappelé d'un poème de EE Cummings qui a toujours été un de mes favoris.
somewhere i have never travelled, gladly beyond
any experience, your eyes have their silence:
in your most frail gesture are things which enclose me,
or which i cannot touch because they are too near
your slightest look easily will unclose me
though i have closed myself as fingers,
you open always petal by petal myself as Spring opens
(touching skilfully, mysteriously) her first rose
or if your wish be to close me, i and
my life will shut very beautifully, suddenly,
as when the heart of this flower imagines
the snow carefully everywhere descending;
nothing which we are to perceive in this world equals
the power of your intense fragility: whose texture
compels me with the colour of its countries,
rendering death and forever with each breathing
(i do not know what it is about you that closes
and opens; only something in me understands
the voice of your eyes is deeper than all roses)
nobody, not even the rain, has such small hands
poem by ee cummings
quelque part je n'ai jamais voyagé
quelque part, je n'ai jamais voyagé, volontiers au-delà de toute expérience
, vos yeux ont leur silence:
dans votre geste le plus fragile des choses qui m'enferment,
ou qui je ne peux pas toucher, car ils sont trop près
votre moindre regard facilement se desserrer moi
si je me suis fermé comme les doigts,
vous ouvrez toujours pétale par pétale moi comme le printemps ouvre
(toucher habilement, mystérieusement) a augmenté son premier
ou si votre souhait est de me fermer, i et
ma vie s'éteindra très belle , tout à coup,
que lorsque le coeur de cette fleur imagine la neige
soigneusement partout décroissant;
rien qui nous sommes à percevoir dans ce monde est égal
la puissance de votre fragilité intense: dont la texture
m'oblige avec la couleur de ses pays,
la mort de rendu et toujours avec chaque respiration
(je ne sais pas ce que c'est sur ??vous que se referme
et ouvre, quelque chose ne me comprend dans
la voix de vos yeux est plus profonde que toutes les roses)
personne, pas même la pluie, a ces petites mains
poème de EE Cummings
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posted by DestinationKnowlton.com on Saturday, June 09, 2007 
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